- Milan Morales
- BD
Thorgal Convention, Clap 1ère!
Beaucoup de move autour des oeuvres de Jean Van Hamme…. Aujourd’hui, c’est de Thorgal dont on vous cause!
Ca y est, c'est officiel, Thorgal aura sa convention en 2018 !
Alors que Grzegorz Rosinski va nous offrir dans quelques semaines son tout dernier album, les auteurs, les éditeurs et les lecteurs de Thorgal vont pouvoir se retrouver au cours d’une soirée qui s’annonce incroyable, à Paris, pour ce qui sera la toute première Convention Thorgal ! La soirée aura lieu le jeudi 15 novembre de 21h à 2h du matin, dans le Dernier Bar avant la Fin du Monde à Paris. La plupart des auteurs de Thorgal et des Mondes de Thorgal seront présents !
(attention, pas pour signer ou dédicacer, mais bien pour vous rencontrer!)
Une occasion unique donc pour discuter avec les créateurs de la bande dessinée, mais aussi de plonger dans l’univers de Thorgal au travers d’une soirée à thème, d’un bar viking et d’animations.
Énormément de choses sont prévues ! – une démonstration de combat médiéval – un body painting « Sortir d’une case », une animation proposée par Les Imaginales – du dessin en direct sur scène – un photobooth, pour des prises de photos délirantes toute la soirée – un bar viking, des jeux, des surprises ! Un concours de cosplay permettra à tous ceux qui le souhaitent de s’immerger encore davantage, en venant à la soirée dans la peau de nos héros préférés ! Les cosplayers défileront sur scène, les auteurs éliront leur costume préféré. Une boisson sera offerte à toutes les personnes déguisées, et le gagnant repartira avec une statuette Attakus Kriss de Valnor d’une valeur de 490 €.
Pour plus d’infos, on vous oriente vers le site Thorgal.com des éditions du Lombard.
Bon, cette news étant close, on s’en va découvrir de ce pas les 2 nouveaux XIII que l’on vient de recevoir à la Rédaktion! ;p

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953. il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987.
Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue: Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public. Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …
Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en 1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.
Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.
Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.
Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.
René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».