Seven Deadly Sins: (le retour de) la fin!

La seconde fois sera-t-elle la bonne? En tout cas, l’auteur l’annonce: la fin de sa série est proche!
On vous donne notre avis sur cette annonce dans la suite…
Mise à jour 17/02/20

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C'est en effet sur le compte officiel de l'éditeur de Seven Deadly Sins que l'on a pu lire les notes d'auteur du 40ème tome de Seven Deadly Sins, qui sort aujourd’hui au Japon cette semaine (le 17 février.)

Dans ce court entrefilet, Nakaba Suzuki déclare qu'il ne reste qu'un tome à la série, et que Seven Deadly Sins devrait donc s'achever sur son 41ème tome.

 

MàJ 17 février 2020, 19h00:
Dans le Spin-of "Histoires complémentaires", qui est sorti aujourd'hui aussi,, le mangaka explique les ces nouvelles courtes histoires sortiront bien un jour, mais sans être plus précis.  Par contre, il précise que cela arrivera une fois que sa nouvelle série commencera la publication.

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Là où le lecteur averti hausse un sourcil, c’est lorsqu’on sait que ce mangaka avait déjà une première fois annoncé la fin de sa série il y a presque 2ans…. On parlait alors à l’époque d’une nouvelle série SpinOff, centrée sur l’un des personnages secondaires: Arthur!
Hasard ou non, il se fait actuellement que l’Arc des Démons est définitivement clos, et que l’aventure est centrée depuis quelques chapitres sur le retour à l'avant-plan du dit Arthur !

On a donc l’intuition que Nabaka Suzuki ne nous avait pas foncièrement menti lors de la première annonce, mais sans doute que son éditeur l’a poussé à intégrer son idée « Arthurienne » dans un ultime et court Arc…

En Francophonie, le #37 sortira ce 19 février aux éditions Pika.

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Il existe aussi une version Anime, mais ses graphismes, son animation et son adaptation sont tellement médiocres qu’on ne vous en parlera pas…

Il était une fois un 14 Août ...
Christophe ARLESTON

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953.   il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987. 

Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue:  Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public.  Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …

Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Jirō TANIGUCHI

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en  1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.

Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.

Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.

Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.

René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».

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