WTF…riday: la vraie fin de l’attaque des Titans!

Et si l’un des Mangas les plus lus au monde ne s’était pas terminé comme son éditeur avait voulu nous le faire croire?
C’est notre news WTF…riday qui va réjouir tous les fans d’isekai ET de QAnon…

L’info date de mercredi passé, et a été publiée dans le journal Asahi Shimbun.
On y trouve une publicité totalement humoristique sur une fin alternative, dessinée par Isayama lui-même (l'auteur du manga), qui dépeint une fin alternative pour son protagoniste Eren :
Notre héros se réincarne dans le Japon à notre époque, mais se fait immédiatement renverser par un camion, ce qui l'envoie dans un monde fantastique "semblable à un jeu vidéo" …
Eren utilise alors ses pouvoirs de Titan pour vaincre des monstres et terroriser involontairement les habitants de ce monde fantastique.

Le titre de cette auto-parodie géniale peut se traduit par (accrochez-vous): "La fois où je me suis brièvement réincarné au Japon, mais où je suis mort et où j'ai été réincarné dans un autre monde où personne ne semblait se soucier de moi jusqu'à ce que j'essaie de me transformer en Titan pendant un moment et que soudain, tout le monde s'agite autour de moi dans la paume de ma main". Ok, vous êtes toujours là ? ;)

WTFTitanIseka.jpg

Ce titre désinvolte et totalement WTF est une référence au manga « Moi quand je me réincarne en Slime » de Fuse, qui est également publiée par Kodansha.

Le manga Attack on Titan de Hajime Isayama s'est terminé dans le numéro de Mai 2021 du Bessatsu Shōnen Magazine de Kodansha le 9 avril, après 11 ans et demi de sérialisation.

La série a inspiré un anime télévisé populaire, de nombreux mangas et romans spinoffs, plusieurs animes spinoffs, des jeux vidéo et un projet de film en prise de vue réelle.

Source: Asahi Shimbun édition du 9 juin, Cinema Today

Il était une fois un 14 Août ...
Christophe ARLESTON

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953.   il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987. 

Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue:  Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public.  Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …

Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Jirō TANIGUCHI

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en  1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.

Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.

Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.

Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.

René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».

Identification (2)