Meian se lance dans les éditions Collector

C’est une mode qui attire fort les collectionneurs (mais aussi malheureusement les spéculateurs!): lors de la sortie d’un tome d’une série à succès, l’éditeur propose régulièrement une édition alternative avec un « + » exclusif à ce 1er tirage.

Si parfois ces « collectors » en valent la peine, trop souvent depuis quelques temps, ce petit plus se résume à un simple goodie sans grand intérêt…

On notera au passage que désormais, les éditeurs tels Kurokawa tentent maintenant l’ « Ultra-Collector », avec un contenu exclusivement apocalyptique, à un prix tout aussi dévastateur (ultra-collecteur du prochain Spy x Family pour un prix avoisinant les 40€).

C’est donc cette fois aux Editions Meian de se lancer dans ce bain, en proposant directement 3 tomes en Collector limité:

 

- Le #10 d’Egregor: avec une jaquette alternative, 10 ex-libris et 1 poster. (Sortie en Août pour 12,95€, contre 6,95€ pour l’édition classique)

396_f.jpg

- Le tome conclusif de Shiguriu: avec une jaquette alternative, 5 ex-libris A5, et 1 poster A3. (Sortie le 10 Août pour 14,95€, contre 9,95€ pour l’édition classique)

395_f.jpg
- Et le dernier opus de Gannibal: avec un chapitre inédit de 31 pages (dont une page couleur), une jaquette alternative dont l’illustration a été produite uniquement pour cette édition, 5 ex-libris dont une illustration inédite, et 1 poster avec l’illustration du chapitre B. (Sortie là aussi en Août pour 12,95€, contre 6,95€ pour l’édition classique.

394_f.jpg
Si notre attention sera surtout portée vers le dernier Gannibal (dont chaque tome a été « coup de Coeurisé » lors de leur sortie ) avec son chapitre inédit, on va regarder de très très près ces 3 exclu’, tant cet éditeur propose aujourd’hui le plus beau travail d’édition avec une très haute qualité de finition….


On a hâte de voir ça avec nos yeux! ;)

Il était une fois un 14 Août ...
Christophe ARLESTON

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953.   il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987. 

Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue:  Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public.  Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …

Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Jirō TANIGUCHI

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en  1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.

Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.

Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.

Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.

René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».

Identification (2)