Invincible Saison 2… On peut rêver!

L’adaptation en Anime sur Prime Video avait cartonné avec une 1ère saison exceptionnelle.
Las, si la promesse d’une suite a été faite, la suite ne sera pas pour tout de suite…

InvinciblePrime-0.jpg

La série animée showrunnée par Robert Kirkman lui-même (il a commis un petit comics avec des zombies...), et produite par Seth Rogen et Evan Goldberg (en autres), a en effet été saluée pour sa violence graphique et sa fidélité aux comic d’origine par rapport à la personnalité cynique du héros Mark Grayson.

Prime Video avait dès lors très vite annoncé une saison 2 -et même une 3ème!- mais depuis… « Waterloo morne plaine! »…. jusqu’à ce que Steven Yeun, qui a prêté sa voix au jeune super-héros se confie, douchant directement nos espoirs:

"Nous n'avons pas commencé. Je sais que nous allons commencer à un moment ou à un autre, bientôt. J'ai parlé à Robert Kirkman. Il est super excité et est convaincu que la saison 2 sera même meilleure que la saison 1, ce dont je ne doute aucunement. Si vous retournez au matériel de base, Invincible est une bande dessinée incroyable, et juste en pensant à toute l'histoire qui n'a pas été racontée, je me dis que ça va juste être dingue. Je suis vraiment très excité à ce sujet."

InvinciblePrime-1.jpg

Quand on sait que la S1 avait mis près de 3 années à être mise en production puis diffusée, on se dit qu’on n’est vraiment pas prêt de voir la suite sur nos écrans.

2 alternatives dès lors:
- Découvrir la dite-suite dans les comics, publiés chez Delcourt (série complète et terminée)
- Attendre (encore…) de voir arriver son adaptation long métrage cette fois (pour une diffusion toujours sur Prime Video).

Patience est mère de toutes les vertus… mais quand même! ;)

InvinciblePrime-2.jpg

 

Il était une fois un 14 Août ...
Christophe ARLESTON

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953.   il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987. 

Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue:  Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public.  Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …

Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Jirō TANIGUCHI

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en  1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.

Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.

Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.

Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.

René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».

Identification (2)