Les franco-belges: Universal War One
31ème épisode du podcast « Les Franco-belges ». En scène cette fois?
Un épisode stratosphérique consacré à Universal War One de Denis Bajram.
Lyonsbanner, en compagnie de CapyCec, Milan et Sam se plongent dans les couloirs du temps de ce classique moderne !
Difficile évidemment pour moi d’être impartial vu que j’y participe activement, mais je pense qu’il s’agit là du meilleur épisode de ce superbe Podcast… jusqu’au suivant!
Pour l’écouter, on vous conseille l’excellente application « OverCast » (iOS), mais il y a pléthore de choix.
En cliquant simplement aussi sur cette cover, vous pourrez l’écouter online… ou découvrir les épisodes précédents!
Le format voulu est une émission d’une durée oscillant toujours entre 1h30 et 2h30, parfaite donc à écouter en faisant la vaisselle, le repas, en tondant sa pelouse ou en faisant une belle sortie sportive!
Vous pouvez aussi retrouver tous les chroniqueurs des Franco-Belges sur le Discord du CalvinBall Consortium!
Le prochain épisode est déjà enregistré et vous ramènera dans une série Uuuultra-classique (mais qui a du chien!) du Franco-belge

Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.
Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.
Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…
(Source: artisbd)