Expo « Sport x Manga »
Célébrer les JO de Tokyo 2020 en … 2021 et en Suisse ?!?
C’aurait pu être notre info WTF…riday de la semaine, mais au vu du fantastique travail accompli, on va éviter les amalgames et vous en parler tout simplement avec le plein de photos!
L’exposition Sport X Manga était initialement prévu pour Avril 2020. Pandémie oblige, elle a été placée en veille de toute urgence par ces créateurs. Depuis lors, on n’en entendait plus parler du tout, nous faisant craindre le pire…
Et puis enfin, un gros coup de Karsher a été réalisé et la revoici enfin… un an plus tard.
Réalisée en collaboration avec le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême. Le manga de sport, ou le supokon, est un outil parfait pour comprendre l’évolution du sport dans le Japon d’après-guerre. Les arts martiaux, l’arrivée des sports occidentaux, les Jeux Olympiques de 1964, les valeurs véhiculées par le sport, voilà la riche matière traitée par ce genre de manga.
Sport X Manga s’arrête sur la façon dont le sport a influencé le style manga et nourrit l’imagination des mangakas : coups spéciaux de Captain Tsubasa (Olive et Tom), balles miraculeuses et autres effets extraordinaires.
À découvrir : des dispositifs ludiques et interactifs, un film animé, des interviews, un coin lecture et des capsules kakimoji pour vous prendre en photo !
Bon, pour nous purs belges de souche ou même pour nos amis français, ça va être compliqué de visiter cette exposition qui s’est posée à Lausanne (Suisse) jusqu’au 21 novembre 2021.
A défaut en attendant de pouvoir à nouveau sortir de nos contrées, Julien Beaujean, le DG des éditions Dupuis et commissaire de cette exposition, partage avec plaisir quelques chouettes prises de vue de cette exposition temporaire (gratuite)
https://www.olympic.org/fr/musee/visiter/agenda/celebrez-tokyo-2020

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953. il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987.
Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue: Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public. Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …
Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en 1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.
Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.
Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.
Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.
René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».