- Milan Morales
- Comics
Robert Kirkman à des doigts de fée…
Depuis quelques années, tout ce que ce gars créée se change indubitablement en or! Preuve en est sa nouvelle série qui va être adaptée au Cinéma!
2 tomes…. Il aura en effet fallu juste 2 tomes pour que les propositions d’adaptation au grand écran tombent sur sa tête et celle de son co-créateur, Lorenzo De Felici.
Après donc son comics universellement connu « Walking Dead », voici que sa nouvelle série « Oblivion Song » va se voir transposée en film par Universal Pictures et le studio Skybound Entertainment.
D'après l'annonce presse, le projet verra son scénario adapté par Sean O'Keefe qui avait écrit « Wonderland » pour Mark Wahlberg et Peter Berg.
Kirkman, David Alpert, Bryan et Sean Furst seront producteurs du film.
Pas d’autre information concernant le réalisateur n'a été donnée à ce jour.
Oblivion Song est une série de science-ficiton publiée par Image Comics depuis 2018, et chez Delcourt Comics depuis la même année pour sa version française.
Le synopsis de la série, par l’éditeur Delcourt:
Il y a dix ans, 300 000 habitants de Philadelphie ont soudainement disparus, happés vers une autre dimension. Ils tentent d’y survivre face à des monstres gigantesques. Le gouvernement a abandonné les recherches. Nathan Cole, lui, poursuit pourtant les missions de sauvetaget afin de ramener les survivants… Mais sont-ils vraiment tous prêts à revenir ? Et que cherche en réalité Nathan ?
Vous pouvez aussi visualiser la bande annonce de Delcourt pour la série comics en effleurant du bout des doigts cette image…
… ou encore (re)lire l’excellentissime chronique du #1 réalisée par l’un de nos 2 spécialistes Comics, El Guapo!
Cliquez sur sa couverture:
(cette chronique avait d’ailleurs intégré notre Top 5 des chroniques « Comics » les plus lues en 2018.
Il ne vous reste plus désormais qu’à attendre la chronique du #2, en cours de rédaction! ;)

Christophe Pelinq est né à Aix-en-Provence le 14 août 1953. il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille, (CTMC), dont il sort diplômé en 1987.
Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l'éditeur Alpen. Vient alors la rencontre avec Mourad BOUDGELLAL, qui vient de créer les editions Soleil. Les deux premières séries d’importance d'Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d'Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue: Lanfeust de Troy. La réponse du public est immédiate, en quelques semaines l'album se positionne dans les meilleures ventes. La carrière de scénariste vedette d’Arleston démarre alors réellement aux yeux du public. Il enchainera ensuite les séries à succès, tel « Troll de Troy », « Moréa », « Les naufragés d’Ythaq », "Sangre" …
Il a vendu à ce jour plus de douze millions d’albums de bande dessinée, dont la moitié sur la seule série Lanfeust.

Naît le 14 août 1947 à Tottori, au Japon.
Enfant à la santé fragile, il passe beaucoup de temps à lire et à dessiner.
Il a publié d’incroyables histoires se basant sur la vie quotidienne, tel « Le journal de mon Père » en 1994, « Quartier Lointain » en 1998 ou encore « Le sommet des Dieux » (5 volumes).
En 2011, il est sacré Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
C’est Le 11 février 2017, âgé de 69 ans, que ce grand maitre mangaka nous quittera dans la plus douce discrétion…

René GOSCINNY, né le 14 août 1926 à Paris et mort le 5 novembre 1977 à Paris.
Ecrivain, humoriste et scénariste de bande dessinée français, également réalisateur et scénariste de films, et journaliste. Il fut l'un des rédacteurs en chef de Pilote, alors l'un des principaux journaux français de bande dessinée.
Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus.
Il a également permis la reconnaissance du métier à part entière de scénariste de bande dessinée qui n’existait pas avant lui.
René Goscinny a utilisé quelques pseudonymes comme « René Maldecq », « René Macaire », « Agostini », « Liliane d’Orsay ».